La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1429)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1183) -

Je voyais qu'elle perdait pied face à un tel flot de sensations et j'admirais son abnégation d'esclave et la vénération qu'elle montrait ainsi envers le Maître dont nous étions devenus les propriétés absolues... Après cette longue et si difficile séance, les Etalons étaient partis. L'esclave Joëlle avait, elle aussi, quitté l'appartement... Je me retrouvais donc seul avec Le Maître. J'avais dû faire le ménage dans la pièce, ranger les accessoires, nettoyer le sol, faire en sorte que les lieux retrouvent leur aspect le plus innocent après les actes débridés qui venaient de s'y dérouler... Puis, Maître Edouard claquant des doigts, me siffla comme on siffle un chien. J’accourus en quadrupédie du plus vite que je pouvais me déplacer et je restai à Ses pieds sans bouger, attendant son bon vouloir. Je me rappelle qu’Il avait placé des pinces sur mes tétons, reliées entre elles par une chainette qui, en son centre, remontait pour être assujettie à l'anneau de mon collier de chien. Ensuite, obéissant à Ses Exigences, je me levais pour aller Lui préparer un verre de Whisky de grande renommée alors qu’Il s'était confortablement installé dans Son fauteuil favori, verre je l'avais déposé sur la table basse, à Sa portée. Maître Edouard m'avait ensuite attaché les mains dans le dos avec des menottes et m'avait fait agenouiller à Ses Pieds. Maître Edouard faisait tourner le liquide ambré dans Son verre, faisant légèrement tinter les glaçons sur la paroi de cristal.

- Savoureux !, commenta-t-il Tu t'es plutôt bien comporté, Ma chienne. Bien sûr, tu as encore bien des choses à apprendre, mais je sens en toi un réel potentiel. Nous allons peu à peu faire chuter tes dernières barrières, pour que tu oublies même le sens des mots ‘pudeur’, intimité’ et ‘dignité’. Lorsque tu auras été bien formaté, tu feras une bonne putain.

La vidéo de ton dressage va être envoyée aux Principaux Membres de Notre Cercle. Et je ne doute pas que les commentaires seront favorables. Pour ton information, ce Cercle fut fondé par mon arrière-grand-père se nomme ‘Les Supérieurs’. Il a une ramification mondiale… Il est composé uniquement de Dominants et Dominantes aguerris à la pratique de notre Art de vivre qu’est la Domination/soumission… Et les esclaves admis y sont triés sur le volet… Mon père en est actuellement le Président… Malgré mes 20 ans, il m’a déjà dit que je devrai lui succéder à ce poste, normalement avant que j’arrive à la trentaine….

Confortablement assis, Le Maître plaça la semelle de ses Weston devant ma bouche et je léchai le dessus ciré, m'appliquant à lécher ce cuir de qualité au goût prononcé afin d'en nettoyer toute trace de poussière. Tandis que je m'appliquais à cette tâche, Monsieur Le Marquis poursuivait...

- Par ailleurs, je vais te dire comment j'ai fait la connaissance de cette chienne Joëlle... Cela t'éclairera un peu sur le Pouvoir de Notre Cercle dont tu es devenu l'un des inférieurs admis à Nous servir, alors savoure cet honneur car comme je te l’ai déjà dit, ce n’est pas n’importe lequel des soumis (ses) pouvant intégrer Le Cercle... . Naturellement tu M'appartiens et J'ai tous les Droits sur toi, sans aucune limite. Mais tu dois savoir que Tous les Membres des ‘Supérieurs’ peuvent un jour ou l'autre choisir d'user de tes services et que, où et quand que ce soit, tu leur dois une obéissance absolue en tout lieu, même à l’extérieur de Nos soirées D/s du Cercle…

Le Noble retira la semelle de devant ma bouche et s'installa en toute décontraction, savourant une gorgée d'alcool... Puis il raconta :

- C'était le jour de mes 18 ans, il y a deux ans. Il y avait eu une grande fête au Château familial pour fêter Ma majorité. La nuit était tombée et alors que les festivités se poursuivaient dans la grande salle de bal, mon Père vint me trouver et m'entraîna dans les escaliers menant aux chais de notre demeure.
Nous suivîmes de longs et étroits couloirs, délaissant les étalages de Grands Crûs pour arriver devant une lourde porte de fer que je n'avais encore jamais franchie car j’avais grandi avec cette porte toujours fermée à clé… Sortant une grosse clef, mon Père ouvrit cette porte et nous nous enfonçâmes plus profondément encore dans un long et étroit tunnel aux pierres équarries et mal éclairé. ‘‘Tu vas découvrir un univers nouveau, sombre et passionnant" me dit-il. "Je n'ai aucun doute sur la façon dont tu vas pouvoir intégrer Notre Cercle et y trouver Ta place, ment un jour au sommet..." poursuivit mon Père ...

‘Maintenant, le couloir plus large, était parfaitement éclairé et les murs récemment chaulés respiraient le neuf et la propreté. Une nouvelle porte, mais qui n'était pas verrouillée celle-là. Elle ouvrait sur une salle carrée, assez vaste, seulement meublée d'une large table de bois en son centre. Sur le mur du fond, divers panneaux étaient garnis d'une multitude d'instruments dont je ne connaissais pas l'usage de tous. Mais ceux que je reconnaissais ne laissaient pas de doute sur l'utilité qu'ils pouvaient avoir. Cependant, Les murs à droite et à gauche ouvraient sur une série de cellules. Trois de chaque côté. A gauche, la première était vide. Les deux autres étaient occupées. Chacune par une personne, un esclave mâle et une femelle; nus bien sûr et le corps parfaitement lisse. Aucuns poils, mis à part les cheveux, ondulés pour les femelles, courts pour les mâles, ils étaient absolument glabres... Mais c'est vers le mur de droite que mon Père m'entraîna. Une seule cellule était occupée, par une jeune femelle aux longs cheveux dorés, bien entendu totalement nue... Elle se tenait à genoux face à Nous. Mon Père ouvrit la grille et l’esclave femelle se laissa comme glisser en dehors de la cellule, venant immédiatement se prosterner à Ses Pieds... Je remarquai alors qu'elle portait au cou un fin collier de métal, que je n'avais pas remarqué, trop fasciné par la perfection de son corps nu, ses seins lourds mais dressés, sa croupe ferme, son visage angélique.
.. Saisissant son épaisse chevelure, mon Père la força à se relever, ce qu'elle fit naturellement, se tenant parfaitement droite, la tête bien droite aussi, mais les yeux baissés et les mains jointes dans le dos... Mon Père prit alors la parole :

-Voici chienne Joëlle, une esclave qui a été dressée spécialement pour devenir Ta propriété, à Ta Majorité. Ce jour est venu. Elle est donc à Toi désormais, corps et âme sans aucune limite. Depuis son jeune âge, elle a reçu la plus parfaite éducation dans les meilleures institutions de Suisse. C'est une orpheline qui a été remarquée pour ses formidables capacités intellectuelles. Mais des tests ont aussi permis de déceler en elle une très forte potentialité à devenir une parfaite esclave. Cela a été, d’ailleurs, son vœu le plus cher… Elle a été brillamment reçue à tous ses examens. A sa majorité, depuis 2 ans, elle a aujourd'hui 20 ans, elle a été transférée dans un centre de formation qui appartient à Notre Cercle. On a poursuivi son éducation, mais on l'a aussi dressée mentalement et physiquement. Pendant deux ans, elle a appris toutes les subtilités du sexe, les plus impudiques positions auprès des plus perverses putains sélectionnées aux quatre coins de la planète. Elle a aussi subi les plus pervers tourments mais dans ses innombrables plaisirs lubriques et masochistes de son exceptionnelle libido, de sa sexualité hors norme, car n'oublie jamais que les esclaves ne doivent jamais connaître de répit. Il faut à chaque instant leur rappeler leur condition. Il n'y a jamais d'injustice à l'égard des esclaves, car ils n'ont aucun droit et nous appartiennent totalement. Désormais, l'esclave Joëlle t'appartient, c’est ton cadeau de ta majorité, Ton cadeau d’anniversaire… elle est la première du Cheptel que Tu choisiras de consti au fil de Ta Vie Brillante chez les ‘Supérieurs’. Ton Cheptel sera constitué d’esclaves mâles et femelles, pour les plus divers usages, tu n'as rien à te refuser et surtout … ils n'ont rien à te refuser.
..

Tout en m'expliquant qui était cette superbe femelle, Ma propriété désormais, mon Père passait la main sur le corps de cette créature si parfaite et elle demeurait impassible, telle une sublime statue de chair. Passant la main entre ses cuisses, mon Père me montra un tatouage... Sur son pubis parfaitement lisse était calligraphiée avec élégance une courte phrase : "esclave Joëlle, propriété de MDE"... et la date de mon anniversaire. Ainsi, la femelle porterait pour toujours la trace de son appartenance à Ma personne. J'éprouvais une grande fierté à posséder ainsi pour la première fois une créature humaine. Je passais ma main sur sa peau douce et subtilement parfumée. Je caressais son visage, introduisant un pouce entre ses lèvres. Elle se prêtait docilement à tous mes attouchements, aussi intimes qu'ils fussent. Lorsque je poussais un doigt dans son fondement, elle s'appliqua à se décrisper afin de faciliter l'introduction dans son anus parfaitement lubrifié. Mon père alla chercher sur le mur aux accessoires, une laisse courte en fins chaînons et me la tendit :

-Tiens, me dit-il, voici une laisse pour la mener en quadrupédie, ainsi qu'il se doit pour Un Maître promenant Son esclave. Tu peux l'amener avec toi, lui faire découvrir le Château, car depuis qu'elle a quitté l'institution chargée de son dressage, elle n'a vu que cette salle, où je garde mes esclaves préférés, poursuivit-Il en me désignant les deux cellules occupées du mur opposé. Je vais d'ailleurs m'attarder un peu ici, me distraire avec eux afin de me détendre après cette longue journée. Use de cette belle esclave comme bon Te semblera, passes une agréable nuit et demain nous parlerons, car je dois encore t'apprendre bien des choses concernant Notre Cercle des ‘Supérieurs’ dont tu fais désormais partie à l'instar de tous nos Glorieux et Nobles Ancêtres, mon Fils... Mon arrière-grand-père avait compris que pour faire perdurer les pratiques ancestrales de la Domination/soumission qui existaient au Château depuis le Moyen-Âge dans la famille des Evans, qu’il fallait se structurer internationalement. Et il y a réussi en moins de 20 ans, à l’époque. Alors continuons son œuvre de génération en génération, conclut-il, dans une fierté éloquente …

Tirant un peu brusquement sur la laisse, j'entrainai alors Joëlle vers la porte... j'avais hâte de disposer de ce cadeau si particulier. Et à vrai dire, je ne m'en lasse pas, aujourd'hui encore... poursuivit Maître Edouard...

- Voilà, souligna Monsieur Le Marquis, comment je suis devenu Le Propriétaire de Joëlle… Depuis bien sûr, j'ai pris possession d'autres esclaves et tu es le dernier en date. Mais Joëlle garde le charme des premiers pas... Quant à toi, tu n'as pas eu la chance d'être repéré et dressé plus tôt, mais ton potentiel est évident. Tu es né pour être asservi et je sais que tu as compris que tu ne pouvais échapper à ta condition naturelle. Aussi je t'ai choisi et je vais te formater, te façonner. Ce sera sans doute un peu long, parfois difficile pour toi, mais tu ne peux échapper à ton destin : M'appartenir, corps et âme ! Et devenir une des putain des ‘Supérieurs’

Ayant dit cela, Monsieur Le Marquis se releva et sortit Son Sceptre Viril qu'il tendit vers moi. Déjà, ferme et dur, Son Vit se dressait. Quant à moi, à genoux, mains menottées dans le dos, j'ouvris largement ma bouche afin de recevoir La Virilité tendue du Maître qui s'enfonça profondément entre mes lèvres...

(A suivre …)

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